Le dernier tablette
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Le psyché d’ivoire trônait au milieu de la parure, intact nonobstant l’humidité et le passage de la destinée. Raphaël s’en approcha délicatement, se mettant à sa surface lisse qui semblait absorber la clarté , ça vaut mieux que la penser. Aucun trait ne lui revenait, à savoir si cet balle ne se contentait pas de infuser la vie, mais captait autre chose, une présence hors de l'avenir. Il savait que la voyance révélait quelquefois des visions farfelues, des clichés qui s’imposaient aux ancetres sensibles sans qu’ils n’aient cherché à les déclencher. Ce miroir semblait fonctionner en faisant référence à un idée pareil. Il n’était pas un commode artefact, mais une interface entre deux matérialités. Un léger frisson parcourut son être lorsqu’il perçut un développement inapparent. Une brume translucide s’éleva légèrement de la surface du miroir, saisissant forme par-dessous ses yeux. Ce n’était pas un dégagé influence d’optique, mais quelque chose de véritablement bien concret. L’image d’une vaste plaine apparut, balayée par des vents violents, sous un ciel menaçant. Puis, une silhouette se dessina au loin, avançant d’un pas incertain par ce panorama désolé. Il savait que la voyance par téléphone sérieuse permettait assez souvent de subir des événements qui n’avaient pas encore eu repère, en captant des fragments de pertinence dissimulés dans le flux du temps. Ce qu’il voyait ici était différent. Ce vitrage ne reflétait pas normalement une existence éventuelle. Il lui montrait une scène précise, un moment clair quelque part dans l’avenir. La brume se dissipa, et l’image s’effaça délicatement, laissant à la suite elle la même surface lisse et ésotérique. Raphaël resta figé, attrayant de comprendre ce qu’il venait de voir. Pourquoi cette vision ? Qui était cette lignes ? Était-ce un appel, un message laissé par ce que avaient dans les temps anciens occupé ce palais ? Il repensa aux fictions abordant des miroirs anciens utilisés pour percevoir le destin. Certaines habitudes parlaient de sites imprégnés d’une force qui transcende les siècles. Ce qu’il avait par-dessous les yeux était par contre l’un de ces objets oubliés, un soulageant silencieux des des fêtes possible. Il savait qu’il devait tolérer son poursuite. Ce bombe ne lui avait pas tout montré. S’il contenait des prédictions du sort, à ce moment-là il pouvait encore révéler des vérités que individu n’avait jamais osé regarder en physionomie.
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